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05 Sep 2017

Pourquoi l'allemand est une langue d'avenir ?

Souffrant de nombreux préjugés, la langue allemande pâtit de sa fâcheuse réputation. Son apprentissage est boudé par les étudiants et suscite un rejet marqué ainsi que des critiques acerbes qui renforcent ce cercle vicieux. En effet, on constate un déséquilibre notoire entre les étudiants hispanisans, germanistes et italienisants en France. Chiffres à l'appui (Erasmus...)

Pourtant, la proximité géographique et l'ampleur des relations franco-allemandes, tant sur le plan économique, que culturel, historique et diplomatique, devraient en encourager la maîtrise. Afin de cesser ce désamour, de vaincre vos idées reçues, et surtout de vous offrir de nouvelles perspectives, je vous propose N bonnes raisons de vous mettre à l'allemand!

 

Première langue d'Europe

 

Avec 120 millions de locuteurs dans le monde, dont 100 millions rien qu'en Europe, l'allemand peut se targuer d'être la langue la plus parlée en Europe (et non pas l'anglais ou le français) si l'on excepte le russe; et la douzième à l'échelle mondiale. De plus, l'étude statistique réalisée par l'entreprise Duolingo en 2016, une application ludique pour l'apprentissage linguistique, démontre le dynamisme de celle-ci. Réalisée auprès de ses 120 millions d'utilisateurs (disposant d'une offre de 19 langues) répartis sur 194 pays, elle révèle que l'allemand est la quatrième langue la plus étudiée en arrivant en tête dans neuf pays, respectivement derrière l'anglais, le français et l'espagnol mais devant le suédois, l'italien et le turc. Elle se positionne au troisième rang pour la deuxième langue la plus étudiée selon le même critère (29 pays) après le français et l'espagnol mais devant l'anglais, le portugais, l'italien, le suédois, le norvégien et le néerlandais. Au total, ce sont 7% des utilisateurs de Duolingo qui l'ont choisie.

Langue officielle évidemment en Allemagne, en Autriche et en Suisse, elle l'est aussi au Liechtenstein, au Luxembourg, en Belgique et dans la région italienne du Tyrol du Sud. L'allemand est également répandue dans les zones frontalières européennes, aux Pays-Bas, au Danemark, en Pologne, République Tchèque, Hongrie, Slovaquie, Roumanie, Russie, Biélorussie, Ukraine, Moldavie, Lettonie, dans les Balkans et en France germanophone (Alsace et Moselle). Par ailleurs, sa pratique se dissémine jusqu'en Amérique du Sud où elle est utilisée au Chili, en Argentine, au Paraguay, au Vénézuela et au Brésil, ainsi qu'en Afrique, notamment en Namibie, Tunisie, Tanzanie et Égypte. Elle est très populaire en Indonésie, en Asie Centrale et au Moyen-Orient (Turquie, Syrie, Iran).

Connaître l'allemand vous ouvrira donc des portes sur la communication à l'international et valorisera votre insertion professionnelle, au-delà du simple aspect intellectuel et culturel.

 

Allemagne, Suisse et Autriche, trois puissances économiques majeures

 

En effet, l'Allemagne, la Suisse et l'Autriche sont trois acteurs économiques majeurs au niveau européen et international. Tous trois possèdent des niveaux de vie très élevés, des taux de chômage bas et une croissance économique dynamique, ce qui les rend attractifs. Selon les chiffres publiés par la Banque Mondiale pour l'année 2016, l'Allemagne est la quatrième puissance économique mondiale et la première sur le plan européen; tandis que la Suisse est respectivement dix-neuvième et septième, et l'Autriche vingt-huitième et onzième ! Berlin peut se réjouir d'avoir connu la même année une croissance économique de l'ordre de 1,9%, quand à Berne on tablait sur 1,3% et 1,5% à Vienne (contre 1,2% pour Paris). En Juillet 2017, le taux de chômage outre-Rhin s'établissait à 5,6%, contre 4,4% en Suisse pour le deuxième trimestre de 2017 et 6% en Autriche pour le premier quart de 2017. Autant dire que les trois pays jouissent quasiment du plein-emploi et d'une croissance assez soutenue alors que la France se débat avec ses 9,5% de taux de chômage pour le deuxième trimestre de 2017 et une croissance économique encore molle.

D'autre part, le niveau de vie dans ces trois pays est sensiblement supérieur à celui de la France. Il est mesuré par le Revenu National Brut (RNB) en dollars par habitants. Pour l'année 2016, le RNB par habitants en France se dressait à 38 950 dollars. À titre de comparaison, celui de la Suisse était un peu plus de deux fois plus important, toujours en 2016 (81 240 dollars). Quant aux allemands (43 660 dollars) et aux autrichiens (45 230 dollars), ils restent environ 1,15 fois plus riches que les français.

 

De surcroît partenaires commerciaux clés 

Importance du couple franco-allemand

Généralement admis que l'anglais doit être aujourd'hui maîtrisé, connaître une seconde langue est d'autant plus précieux et particulièrement l'allemand car peu répandu en France et recherché (+ espagnol), offre des perspectives de carrière intéressantes et Allemagne déficit main-d'oeuvre qualifiée, pays au niveau de vie plus élevé (Allemagne, Suisse et Autriche), grandes économies dynamiques

Monde du tourisme (gds voyageurs)

Un atout stratégique pour le monde professionnel 

Un atout culturel

 

Pas aussi difficile qu'on le dit 

Laid--> perception subjective de chacunv

04 Sep 2017

L'Orientation, grand saut dans l'inconnu obligatoire ?

Loin d’être une voie toute tracée, l’orientation se révèle parfois comme un parcours du combattant aussi bien pour les parents…que pour les futurs étudiants eux-mêmes ! Pour autant, il ne sert à rien de trop s’alarmer d’un côté comme de l’autre. Pour cela quelques règles sont à respecter.

 

Etudiants

Si l’orientation s’affine progressivement pour la voie générale avec le choix d’une filière en Première, elle ne reflète pas toujours les souhaits des lycéens -nombre de ces derniers décident par dépit- ou elle n’est pas appréhendée dans un projet global, dans une vision à plus long terme. En revanche pour les branches professionnelles et technologiques, les perspectives sont souvent plus nettes.

Anticipation

Le maître mot pour une orientation réfléchie et non subie, c’est l’anticipation. En effet, pour écarter les résolutions prises par absence d’intérêt marqué, par la pression du temps et des « formalités » administratives, mieux vaut s’informer le plus tôt possible sur soi-même d’abord, et sur les formations correspondantes ensuite.

Pour se faire, des excursions à des salons d’orientation s’imposent. Ainsi, dès la Troisième vous pouvez vous rendre au Mondial des métiers, organisé en partenariat avec la région Auvergne-Rhône-Alpes et qui se tient chaque année à Eurexpo et réunit plus de 4000 professionnels représentant 60 domaines professionnels et plus de 600 métiers. En Seconde, seule année du lycée où vous n’avez pas d’examen et un rythme moins soutenu, mettez ce temps libre à profit pour avancer dans votre cheminement ! Sondez Internet et les sites des écoles, faîtes éventuellement quelques tests d’orientation, consultez la brochure ONISEP en ligne ou demandez-la au documentaliste de votre établissement… Toujours dans la même région, les Journées de l’Enseignement Supérieur (JES) permettent aux lycéens de s’immerger pendant quelques jours dans l’enseignement supérieur en approchant des étudiants, des responsables de formation, en découvrant les locaux et les équipements, en prenant part à certains cours.

D’autres événements, développés à l’échelle nationale, tels que les salons de l’Etudiant, les salons Studyrama ou encore les Nuits de l’orientation, créées par les CCI (Chambres de Commerce et d'Industrie) de France, accessibles depuis le niveau collège –contrairement au deux autres, plus adressés aux lycéens et étudiants-. Ce sont autant de moyens pour rencontrer directement des professionnels à l’écoute de toutes vos questions et généralement plus clairs et concis dans leurs explications qu’Internet, de pouvoir mieux cerner vos centres d’intérêt ou simplement pousser votre curiosité, de vous constituer une base d’informations plus intelligibles pour vous (et vos parents). D’ailleurs, en bon élève qui se respecte, préparez en amont votre visite sur un salon pour retrouver facilement vos questions ! N’hésitez pas aussi à vous faire accompagner, par vos amis, un professeur et surtout vos parents car, d’une part ils peuvent demander des choses auxquelles vous n’auriez pas pensé, d’autre part cette présence peut être rassurante si vous n’osez pas trop aborder les exposants !

De plus, pour vous rapprocher davantage du monde des études, le site Study Advisor vous propose d’échanger par téléphone avec des étudiants ou ex-étudiants, dont le domaine d’études correspond à votre orientation. Vous pouvez même les sélectionner en fonction des écoles que vous désirez potentiellement intégrer.

Réalité du monde du travail

En outre, n’oubliez pas que votre collège, ou du moins votre lycée, compte sûrement un conseiller d’orientation qui peut vous aguiller ! De même, lancez-vous dans les CV et les lettres de motivation ! Pourquoi ? Parce qu’effectuer des stages est la meilleure manière de prendre pleinement conscience de la réalité du monde du travail et d’un métier en particulier. Un stage ne comporte que des avantages : vous donner une piste à creuser, infirmer un choix, en confirmer un autre. Un seul inconvénient toutefois, la difficulté à convaincre les entreprises. Renseignez-vous auprès de votre établissement et surtout activer votre réseau, mobiliser votre entourage, partager votre annonce sur les réseaux sociaux (Facebook, LinkedIn et Viadeo sont très adaptés pour cela).

D’autre part, vous pouvez inviter un enseignant à organiser une intervention avec le réseau 100 000 entrepreneurs, qui dispose de nombreux partenariats avec les Académies. Cette association d’intérêt général fondée en 2007, vise à sensibiliser les jeunes entre 13 et 25 ans à la culture de l’entreprenariat en leur offrant la possibilité d’échanger avec des chefs d’entreprise ou des responsables associatifs. Elle donne le goût d’entreprendre, raccorde le monde scolaire à celui de l’entreprise, éclaire sur les modalités et les outils d’aide à la création d’entreprise, encourage les jeunes dans la concrétisation de leurs projets et les conseille, change la perception de l’entreprenariat en le rendant plus accessible, plus paritaire avec l’instauration d’une Semaine de l’entreprenariat féminin. 100 000 entrepreneurs c’est une transmission des savoirs, un partage d’expérience ; c’est porter un message d’optimisme, de foi en l’avenir, en ses rêves, un message d’audace ; c’est près de 2150 interventions et plus de 60 000 jeunes sensibilisés sur l’année 2015-2016, c’est un réseau de 920 établissements partenaires, plus de 4700 enseignants investis, et de 350 réseaux professionnels ainsi que d’environ 4600 entrepreneurs formés à intervenir en classe.

Enfin, si vous habitez dans la région lyonnaise, je vous préconise tout particulièrement l’Espace Impulsion. Grâce à des séances individualisées, des stages pendant les vacances ou les week-ends ou encore des ateliers adressés aux étudiants comme aux parents, vous pourrez non seulement identifier vos talents, vos valeurs et ce qui vous anime, vous motive –appelés « Drivers »-, mais aussi développer votre confiance en soi, définir votre profil et un type de personnalité associé à un environnement professionnel concordant, le tout toujours dans une perspective d’optimisme bien sûr. Espace Impulsion vous accompagne également afin de planifier une rencontre avec un professionnel du métier qui vous intéresse, si vous en faites la demande.

Quoi qu’il en soit ne retenez qu’une seule chose : l’enjeu ultime de l’orientation est d’accéder aux études, et ensuite au métier, qui vous plaisent. Cependant, même si à l’issue de la Terminale vous ne savez toujours pas où vous inscrire ou que vous prenez conscience que vous vous êtes complètement trompé de voie, pas de panique ! Souvenez-vous qu’une année n’est jamais perdue et que les connaissances se cumulent.

D’autant qu’aujourd’hui il est beaucoup plus facile de se réorienter qu’hier, notamment grâce aux European Credits Transfer System, crédits ECTS en français, qui sont des équivalences de diplôme reconnues à l’échelle de l’Union Européenne. Et depuis la crise de 2008, le phénomène de reconversion professionnelle s’est accentué. En effet, selon une enquête menée en 2014 auprès de 5000 actifs et 500 chefs d’entreprise et Directeur des Ressources Humaines (DRH) en France, réalisée par l’institut de sondage Opinion Way et l’Association Nationale pour la Formation Professionnelle des Adultes (AFPA), 74% des salariés ont déjà envisagé de changer et 88% se déclarent prêts à s’engager dans une formation pour un secteur qui recrute. Surtout, 60% des participants attestent avoir changé au moins une fois de métier ou de secteur d’activité et 30% plusieurs fois. Si 94% des sondés considèrent la reconversion professionnelle difficile (insuffisance d’information, d’accompagnement, de temps, de budget, démarches longues et difficiles, autocensure…), 55% des personnes qui l’ont matérialisée se sentent plus épanouis au niveau personnel et professionnel tandis que 46% jugent l’équilibre entre les deux plus harmonieux. Ils ne sont respectivement que 22% et 27% à penser le contraire. Enfin, 65% des DRH interrogés l’estiment comme un atout pour l’entreprise. Ceci pour vous prouver qu’il n’y a pas d’âge pour la réorientation et qu’il n’y a pas de fatalité !

Par ailleurs, une année d’immersion à l’étranger ou une mission de service civique peuvent être une bonne manière de reporter votre décision d’orientation, tout en vous apportant un plus sur votre CV et une ouverture qui vous aidera à vous positionner sur votre avenir.

 

Parents

Quand on avance que les premiers à se préoccuper de l’orientation sont les étudiants eux-mêmes, on néglige bien souvent les parents qui se tourmentent depuis un certain temps, tentent de glaner des informations pour mieux se projeter et préparer l’année suivante. Et vous êtes en droit de vous interroger également. Voici quelques pistes pour aider votre adolescent en pleine recherche…ou pour le booster !

Respect et accompagnement

Le système scolaire impose globalement une pression conformiste en stigmatisant ou alors en valorisant des orientations plus que d’autres. C’est pourquoi votre rôle est d’encourager et de soutenir toute démarche de votre adolescent qui va dans ce sens. Proposez-lui votre aide car votre expérience pourrait lui être utile, bien qu’il n’en soit pas toujours conscient. Essayez de prendre le temps de vous rendre avec lui aux portes-ouvertes des écoles, à quelques salons, guidez-le dans ses recherches de stage (correction des CV et lettres de motivation).

Néanmoins, laissez-le être acteur et moteur de son orientation, c’est vraiment lui qui doit opérer son choix et ne pas percevoir une quelconque préférence familiale, même si vous avez évidemment votre mot à dire, nous y reviendrons. Une fois qu’il aura déterminé les études qu’il poursuivra, vous apposerez vos ajustements.

Soyez attentifs et n’hésitez pas à le brusquer un peu si, au contraire, vous le trouvez apathique. Il est donc très important de bien observer les phases du logiciel d’Admissions Post-Bac (APB). Si le système n’est pas complexe –en dépit de ses nombreuses imperfections : 6000 étudiants sont toujours sans affectation à l’heure où vous lisez cet article- en lui-même, les dates sont à marquer en rouge ! Et si vous ne vous engagez pas dans cette procédure, mieux vaut adopter une attitude identique.

Enoncer et faire entendre vos critères

Le choix des études amène à réfléchir en amont à certains points essentiels vous concernant, que votre « enfant » devra accepter. Car, même si l’orientation doit refléter ses goûts, la réalité peut s’avérer tout autre.

En effet, l’aspect financier contribue à restreindre ses perspectives –et les vôtres- car des écoles peuvent devenir inaccessibles, même avec des aides sociales ciblées. Renseignez-vous auprès des différents organismes responsables pour connaître les conditions d’éligibilité. Vous pouvez aussi chercher des formations similaires sur le plan des débouchés mais plus abordables ou alors en alternance, ce qui permet de réduire les coûts puisque l’employeur prend intégralement en charge les frais de scolarité et verse un salaire à l’étudiant. A noter toutefois qu’il est assez difficile de dénicher les entreprises et la concurrence entre étudiants est rude…

Ensuite, il est important de considérer la proximité entre le lieu d’études et le domicile familial. Des filières sont parfois plus réputées dans une autre région, ou elles n’existent tout simplement pas dans la vôtre ; pour autant se posent à nouveau la question du budget mais à la fois, êtes-vous prêts à le laisser s’envoler, et lui, est-il prêt ? Ces interrogations sont à prendre en compte et, quelquefois, peuvent surgir alors que l’école se situe dans la même ville (peu d’accessibilité, formation au permis onéreuse avec ce que cela implique quand on l’obtient, temps en transports en commun trop long…).

Lorsque la décision est actée, c’est toute l’organisation familiale qui s’en retrouve bouleversée. Heureusement, plusieurs solutions sont développées aujourd’hui : de la résidence étudiante à la collocation en passant par le logement intergénérationnel ou directement chez l’habitant… Pour le rapatriement lors des périodes de vacances et éventuellement les week-ends, pensez covoiturage et lignes de bus bien souvent plus économiques qu’un trajet seul en voiture, en train ou en avion.

Aspects primordiaux

Au-delà de ces critères, trois règles d’or sont à suivre scrupuleusement. Elles fondent la réussite des études. 

En premier lieu, vous devez vous assurer de la reconnaissance officielle de l’école et du diplôme par l’Etat. Elle est indiquée par la mention « certifié RNCP » pour Répertoire National des Certifications Professionnelles. Le titre RNCP confère une meilleure visibilité et lisibilité à l’école, au diplôme et à l’étudiant. Il facilite l’intégration sur le marché du travail. Attention, des professions possèdent également des reconnaissances propres, notamment le journalisme (seulement 14 écoles sur tout le territoire sont actuellement reconnues par la Conférence Nationale des Métiers du Journalisme (CNMJ)) !

En second lieu, attardez-vous sur les débouchés qu’offre le diplôme à la sortie de la formation. S’orienter vers une voie où les perspectives d’embauche et d’évolution de carrière sont faibles, où la précarité et la vulnérabilité sont élevées n’est pas forcément judicieux… Un récent classement, établi par le site de recherche d’emploi Qapa, et relayé par Le Figaro le 29 Mai dernier, dressait la liste des 10 métiers qui recrutent le moins et à l’inverse, les 10 plus dynamiques. Il apparaît que les documentalistes, psychologues, professeurs d’Education Physique et Sportive (EPS), journalistes et architectes Bâtiment Travaux Publics (BTP), entre autres, sont à la peine. A contrario, une forte demande est constatée pour les métiers de cuisinier, préparateur de commande, gestionnaire de paie, développeur informatique et aide-soignant.

Pour cela, ne vous fiez pas tant au taux de réussite, lié à la scolarité, que font souvent miroiter les écoles, qu’au taux d’insertion professionnelle qui lui, informe réellement sur la capacité d’accès à l’emploi des diplômés.

Pour résumer, l’orientation n’est pas aussi terrible qu’on le prétend, c’est un cheminement, une aventure pleine de rebondissements qui suit un cours parfois tortueux certes, mais qui parvient toujours à son embouchure pour se jeter dans la mer avec encore plus d’élan, de volonté, d’ambition et de ferveur. N’oubliez pas : celui qui chaque jour se lève avec le sourire à la perspective de son travail se couche chaque soir en attendant le lendemain…

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